Encore une énième fiction sur harry Potter
Description :
Bienvenue à vous, que vous soyez amis ou que vous passiez complètement par hasard!j'espère que cela vous plaira!!
Harry Potter revisité par moi. J'ai décidé de terminer cette fanfic!
L'histoire ne suit pas tout à fait les livres. Voldemort est de retour, tout puissant, et prépare sa revanche.
C'est dans cette ambiance angoissante et pré-apocalyptique qu'un nouveau personnage fait son entrée;puissante, mais fragile, elle oscille entre la sagesse et la folie, le bien et le mal.
Elle peut changer le destin de tous...
résumé nul, mais lisez tout de même!
_______________________________________ Merci à mes 124 amis et à mes 8 fans!!!!
_______________________________________
amis:acceptés
coms:rendus si questions
fan:merci beaucoup
_______________________________________
autres blogs:
-encre-et-plume
-when-the-manga-gone
-books-wonder-world
Son profil
RogueVSPotter25 ans
Pré au lard (45)
France
Pré au lard (45)
France
Son morceau préféré
Jouer . * Je m'ouvre au terme *. HARRY POTTER 2 - Fawkes is reborn (Harry Potter And The Chamber O)
Bienvenue dans mon univers!
Pour ceux qui le connaisent il n'est pas besoin de leur expliquer
Pour les petit nouveaux, je vais me représenter:
Mon nom: Il restera secret, je ne suis pas sucidaire!
Mon prénom: Il en ira de même pour lui, mais mon pseudo sera Titine16 et mon nom d'écrivain sera the queen of secret
Mon âge:16 ans, mais le plus souvent 8 ans d'âge mental!C'est bien de rester jeune dans sa tête!
Mes passions: J'en ai beaucoup qui ont rapport avec mes talents, comme la lecture, le dessin, l'écriture, l'art(en particulier l'art nouveau et l'art baroque/classique), la mode, la musique....et bon nombre encore
Mes talents: Je sais bien déssiné pour être modeste, je ne suis pas trop mauvaise en chant et je sais plutôt bien écrire (j'ai terminé un roman, je me publie régulièrement dans le journal de mon lycée, j'ai un nombre incalculable de poème et de citations et je fais une fiction et un nouveau roman)
Mon blog:Alors ce blog portera sur une fiction harry Potter. Ecris il y a un bon moment, j'ai décidé de profiter de ma convalescence pour tenter de la terminer!
Si vous n'aimez pas vous êtes en droit de le dire, après tout nous sommes en démocratie, mais je n'accepterez aucun commentaire déplacé et je me réserve le droit de vous acceptez ou pas comme ami.
Bon voyage dans mon monde!
Pour ceux qui le connaisent il n'est pas besoin de leur expliquer
Pour les petit nouveaux, je vais me représenter:
Mon nom: Il restera secret, je ne suis pas sucidaire!
Mon prénom: Il en ira de même pour lui, mais mon pseudo sera Titine16 et mon nom d'écrivain sera the queen of secret
Mon âge:16 ans, mais le plus souvent 8 ans d'âge mental!C'est bien de rester jeune dans sa tête!
Mes passions: J'en ai beaucoup qui ont rapport avec mes talents, comme la lecture, le dessin, l'écriture, l'art(en particulier l'art nouveau et l'art baroque/classique), la mode, la musique....et bon nombre encore
Mes talents: Je sais bien déssiné pour être modeste, je ne suis pas trop mauvaise en chant et je sais plutôt bien écrire (j'ai terminé un roman, je me publie régulièrement dans le journal de mon lycée, j'ai un nombre incalculable de poème et de citations et je fais une fiction et un nouveau roman)
Mon blog:Alors ce blog portera sur une fiction harry Potter. Ecris il y a un bon moment, j'ai décidé de profiter de ma convalescence pour tenter de la terminer!
Si vous n'aimez pas vous êtes en droit de le dire, après tout nous sommes en démocratie, mais je n'accepterez aucun commentaire déplacé et je me réserve le droit de vous acceptez ou pas comme ami.
Bon voyage dans mon monde!
L'histoire ne suit pas tout à fait les livres. Voldemort est de retour, tout puissant, et prépare sa revanche. Tout le monde doute de tout le monde. Seul Poudlard semble encore préserver.
C'est dans cette ambiance angoissante et pré-apocalyptique qu'un nouveau personnage fait son entrée;puissante, mais fragile, elle oscille entre la sagesse et la folie, le bien et le mal.
Elle est la clé qui libérera les esprits, elle a le pouvoir de changer le destin de tous....mais encore faudrait-il qu'elle vive pour cela...
C'est dans cette ambiance angoissante et pré-apocalyptique qu'un nouveau personnage fait son entrée;puissante, mais fragile, elle oscille entre la sagesse et la folie, le bien et le mal.
Elle est la clé qui libérera les esprits, elle a le pouvoir de changer le destin de tous....mais encore faudrait-il qu'elle vive pour cela...
ATTENTION SPOILERS!!!
Poudlard, l'école de sorcellerie reposait dans l'obscurité bienfaisante de la nuit. Le château ancestrâle baignait dans une noirceur totale, à peine éclairé par la pleine lune. Le parc respirait le calme. Seule une petite brise agitant faiblement les branches du sol cogneur, rompait cette sérénité propre à la nuit. Soudain, à l'orée du parc un soudaine et éblouissant lumière blanche apparut, d'où sortit une silhouette sombre. Epuisée, elle leva la tête vers le château, avant de s'écrouler inanimée...
Le jour levant révela les magnifiques couleurs automnales qu'avaient revêtues le parc;tout n'y était qu'or et sang, les couleurs des Gryffondors. N'importe qui se promenant dans ce parc aurait été charmé par ce spectacle naturel, n'importe qui hormis le proffesseur de potions,Severus Rogue. Comme toujours le professeur solitaire inspectaient le parc. Comme toujours, son coeur enfermé dans une tour de glace restait insensible devant l'oeuvre de la nature. Jusqu'alors plongé dans ses pensées, il remarqua soudainement une sorte de tas de vieux chiffons usés et tachés, d'où jaillissait quelque chose ressemblant à une longue chevelure auburn. Intrigué, il s'avança et s'aperçut qu'il s'agissait d'un corps: Ce devait être une jeune fille de 16-17 ans dont la couleur de la longue chevelure s'apparentait plus près à la couleur du cuivre flamboyant. Craignant qu'une moldu est réussi à déjouer les illusions du château, il s'approcha d'elle pour lui jeter un sort d'amnésie.
Mais arrivée près du corps, il se rendit compte que cette fille n'était pas une moldue, vu la manière dont elle était habillée. Ses habits à la coupe précise étaient à de nombreux endroits déchirés et tachés d'un liquide qu'il n'arrivait pas à déterminer. Décidé à obtenir des réponses à ses questions, il secoua sans ménagement la jeune femme, jusqu'à ce qu'il sente un liquide chaud couler le long de sa main. Regardant de plus près, il se rendit compte avec horreur que le liquide en question n'était rien d'autre que du sang.
Horrifié, il dégagea la veste de cuir, pour se rendre compte que cette jeune femme portaient d'innombrables cicatrices plus ou moins récentes, certaines très profondes et encore sanglantes, des bleus et, cela arracha un hoquet d'horreur au professeur de défense contre les forces du mal, une horrible marque au fer rouge, en forme de crâne.
Repoussant, les longs cheveux soyeux, Rogue eut l'occasion de contempler le plus beau visage qu'il lui eut été donné de voir, hormis l'énorme hémathome qui s'étendait sous l'oeil gauche et sur une bonne partie de la joue et la lèvre fendue. Ce visage ranima dans sa mémoire le souvenir de celui de Lily.
Mais Pourquoi diable perdait il son temps à révasser au lieu d'ammener cette jeune femme à Mme Pomfresh. Sa vie ne tenait peut être plus qu'à un fil.
Avec le plus de précaution possible, il prit le corps inanimé dans ses bras, prenant soin de ne pas laisser tomber le sac qu'elle tenait serré précieusement dans ses bras.
Ainsi chargé il prit le chemin de l'infirmerie.
Arrivé il entra précipitamment dans la pièce, à la grande surprise de Mme Pomfresh qui s'approcha dans l'attention d'interroger Rogue. Mais voyant les nombreuses blessures et contusions que portait la jeune inconnu, les interrogations de l'infirmière s'envolèrent et elle porta brutalement ses mains à ses lèvre pour étouffer un cri.
Mme Pomfresh:La pauvre enfant. Je n'ai jamais vu quelqu'un arrangé de la sorte!Que lui est il arrivé?
Rogue:Je n'en sais rien!Mais le nombre de bleu qu'elle a sur le corps et les traces de coups me pousse à croire qu'elle a du subir de nombreuses tortures.
Mme Pomfresh:Torturée!
L'infirmère étouffa de nouveau un cri d'horreur, en réalisant.
Rogue:Pensez vous pouvoir la soigner?
Mme Pomfresh:Il n'y a rien que je ne sache pas soigner.
Elle se tourna vers la jeune fille, la regardant avec pitié.
Mme Pomfresh:Mais cette fille est dans un tel état, que je ne suis pas sûre qu'elle survive à cette nuit. Le simple fait qu'elle respire encore tient du miracle. Il faut mieux que je commence son traitement immédiatement.
Tandis qu'elle disparraissait dans son bureau pour préparer les soins qu'elle allait prodiguer à l'inconnue, Rogue retire le sac de toile usée de l'étreinte de fer de la jeune femme inconsciente sur la table de chevet, ce qui arracha à cette dernière un gémissement.Le bruit des objets s'entrechoquant montra clairement qu'ils étaient plus nombreux que la taille du sac ne le laissait présager. L'infirmière revint et plaça sur une tablette au dessus du lit une bassine d'eau chaude sentant fort l'alcool à 90 degré, une grosse bouteille remplie d'un liquide violet qui fuma lorsque l'infirmière la déboucha et une pile de bandages propres.
Mme Pomfresh,
désignant le sac de toile:Qu'est-ce donc?Poudlard, l'école de sorcellerie reposait dans l'obscurité bienfaisante de la nuit. Le château ancestrâle baignait dans une noirceur totale, à peine éclairé par la pleine lune. Le parc respirait le calme. Seule une petite brise agitant faiblement les branches du sol cogneur, rompait cette sérénité propre à la nuit. Soudain, à l'orée du parc un soudaine et éblouissant lumière blanche apparut, d'où sortit une silhouette sombre. Epuisée, elle leva la tête vers le château, avant de s'écrouler inanimée...
Le jour levant révela les magnifiques couleurs automnales qu'avaient revêtues le parc;tout n'y était qu'or et sang, les couleurs des Gryffondors. N'importe qui se promenant dans ce parc aurait été charmé par ce spectacle naturel, n'importe qui hormis le proffesseur de potions,Severus Rogue. Comme toujours le professeur solitaire inspectaient le parc. Comme toujours, son coeur enfermé dans une tour de glace restait insensible devant l'oeuvre de la nature. Jusqu'alors plongé dans ses pensées, il remarqua soudainement une sorte de tas de vieux chiffons usés et tachés, d'où jaillissait quelque chose ressemblant à une longue chevelure auburn. Intrigué, il s'avança et s'aperçut qu'il s'agissait d'un corps: Ce devait être une jeune fille de 16-17 ans dont la couleur de la longue chevelure s'apparentait plus près à la couleur du cuivre flamboyant. Craignant qu'une moldu est réussi à déjouer les illusions du château, il s'approcha d'elle pour lui jeter un sort d'amnésie.
Mais arrivée près du corps, il se rendit compte que cette fille n'était pas une moldue, vu la manière dont elle était habillée. Ses habits à la coupe précise étaient à de nombreux endroits déchirés et tachés d'un liquide qu'il n'arrivait pas à déterminer. Décidé à obtenir des réponses à ses questions, il secoua sans ménagement la jeune femme, jusqu'à ce qu'il sente un liquide chaud couler le long de sa main. Regardant de plus près, il se rendit compte avec horreur que le liquide en question n'était rien d'autre que du sang.
Horrifié, il dégagea la veste de cuir, pour se rendre compte que cette jeune femme portaient d'innombrables cicatrices plus ou moins récentes, certaines très profondes et encore sanglantes, des bleus et, cela arracha un hoquet d'horreur au professeur de défense contre les forces du mal, une horrible marque au fer rouge, en forme de crâne.
Repoussant, les longs cheveux soyeux, Rogue eut l'occasion de contempler le plus beau visage qu'il lui eut été donné de voir, hormis l'énorme hémathome qui s'étendait sous l'oeil gauche et sur une bonne partie de la joue et la lèvre fendue. Ce visage ranima dans sa mémoire le souvenir de celui de Lily.
Mais Pourquoi diable perdait il son temps à révasser au lieu d'ammener cette jeune femme à Mme Pomfresh. Sa vie ne tenait peut être plus qu'à un fil.
Avec le plus de précaution possible, il prit le corps inanimé dans ses bras, prenant soin de ne pas laisser tomber le sac qu'elle tenait serré précieusement dans ses bras.
Ainsi chargé il prit le chemin de l'infirmerie.
Arrivé il entra précipitamment dans la pièce, à la grande surprise de Mme Pomfresh qui s'approcha dans l'attention d'interroger Rogue. Mais voyant les nombreuses blessures et contusions que portait la jeune inconnu, les interrogations de l'infirmière s'envolèrent et elle porta brutalement ses mains à ses lèvre pour étouffer un cri.
Mme Pomfresh:La pauvre enfant. Je n'ai jamais vu quelqu'un arrangé de la sorte!Que lui est il arrivé?
Rogue:Je n'en sais rien!Mais le nombre de bleu qu'elle a sur le corps et les traces de coups me pousse à croire qu'elle a du subir de nombreuses tortures.
Mme Pomfresh:Torturée!
L'infirmère étouffa de nouveau un cri d'horreur, en réalisant.
Rogue:Pensez vous pouvoir la soigner?
Mme Pomfresh:Il n'y a rien que je ne sache pas soigner.
Elle se tourna vers la jeune fille, la regardant avec pitié.
Mme Pomfresh:Mais cette fille est dans un tel état, que je ne suis pas sûre qu'elle survive à cette nuit. Le simple fait qu'elle respire encore tient du miracle. Il faut mieux que je commence son traitement immédiatement.
Tandis qu'elle disparraissait dans son bureau pour préparer les soins qu'elle allait prodiguer à l'inconnue, Rogue retire le sac de toile usée de l'étreinte de fer de la jeune femme inconsciente sur la table de chevet, ce qui arracha à cette dernière un gémissement.Le bruit des objets s'entrechoquant montra clairement qu'ils étaient plus nombreux que la taille du sac ne le laissait présager. L'infirmière revint et plaça sur une tablette au dessus du lit une bassine d'eau chaude sentant fort l'alcool à 90 degré, une grosse bouteille remplie d'un liquide violet qui fuma lorsque l'infirmière la déboucha et une pile de bandages propres.
Mme Pomfresh,
Rogue:Elle le tenait contre elle.Ce sac contient sûrement ses effets personnels.Peut-être y-a t'il quelque chose, des documents, un bijou qui nous permettera de l'identifier.
Au moment où il allait ouvrir le sac, le directeur de l'école, Dumbeldor entra dans l'infirmerie.
Dumbeldor:J'ai fait aussi vite que j'ai pu, dès que je vous ai vu, Severus!Alors qui...
Ses yeux perçant entourés par une paire de lunette en demi-lune se posent soudain sur la jeune fille toujours inconsciente
Dumbeldor:Pardonnez-moi, Severus!
Rogue se déplace et laisse le directeur prendre place au chevet de l'inconnue.
Dumbeldor, pour lui-même:Marianne!!Mais que fait elle ici?
Dumbeldor serre dans sa main celle de la dénommé Marianne.Son regard se fige sur la jeune fille.Il part dans ses pensées.
Rogue:Excusez moi, Proffeseur, mais pouriez vous nous dire qui est cette fille?
Dumbeldor se retourne vers l'infirmière et l'ex-proffeseur de potion.Son regard exprime la panique et la crainte.
Dumbeldor:Ce que je vais vous dire doit rester dans le corps enseignant et vous, Mme Pomfresh. Vous m'avez compris?
Ils acquièscent
Dumbeldor:Voilà, la fille que vous avez découvert, severus, est censé être dans un autre monde à l'abri.Si elle l'a quitté, cela veut dire que son royaume a été détruit et que son père est mort.
Rogue:Allez vous nous dire qui elle est?
Dumbeldor:Mon cher Severus, vous n'avez pas remarqué un air de famille avec Lily Potter?
Rogue regarde de nouveau attentivement le visage de l'adolescente.Plus il la regarde et plus il remarque des coincïdences:la couleur de ses cheveux, la forme de nez et de la bouche...
Rogue, surpris:Vous n'allez pas me dire que...que...
Dumbeldor:Si, cette fille s'appelle Marianne Potter, c'est la fille de James et Lily!
A SUIVRE...
Quelques jours après les récents événements, la dénommée Marianne se rêveillà à l'infirmerie de Poudlard.Ignorant totalement où elle se trouvait, la jeune femme se relèva lentement, observant les murs de pierre blanche. Sa jambe droite ne la faisait plus souffrir; soulevant la couverture de lin, la nouvelle venue remarqua une attelle qui l'empêchait de bouger. Ses bleus commençaient à jaunir et plusieurs de ses cicatrices s'étaient refermées. Mme pomfresch s'approche d'elle.
Mme Pomfresch:Vous vous rêveillez enfin, mademoiselle!Comment vous sentez vous?
Marianne:Où suis-je?
Mme Pomfresch:A Poudlard!
Marianne, observant l'infirmerie:A Poudlard!Alors j'ai réussi!J'ai pu m'enfuir!
Marianne, bien qu'encore très faible voulut se lever. Mais ce fut à peine si elle put retirer ses couvertures, car la main de Mme Pomfresh se posa sur sa poitrine. Marianne leva le regard vers elle;personne ne l'avait retenu de cette manière depuis plusieurs siècles!On ne s'opposait pas aux décisions de la reine de Variar.
Mme Pomfresch, avec un regard sévère:Restez-coucher!
Marianne:Mais je dois voir Dumbeldore!!C'est important!
Elle tenta de nouveau de se lever, mais à peine bouga t'elle sa jambe droite qu'elle ressentit à nouveau des élancements ne présageant rien de bon.
Mme Pomfresch, la ralongeant:Non!Vous attendrez!
A ce moment-là, Dumbeldore entra dans la salle et arrêta l'affrontement des deux femmes. Tandis que l'infirmière saluait le directeur, Marianne se redressa de nouveau, faisant fi de la douleur.
Marianne, pressante:Etes vous le proffesseur Dumbeldore?
Mme Pomfresh, se retournant exaspérée vers sa patiente:Arrêtez de vous débattre et n'interroger pas de cette façon le directeur.
Dumbeldore, avec un geste de la main apaiseur:Laissez, ce n'est pas grave!
Mme pomfresh:Bien!
Bien qu'énervée par le manque de soutien de Dumbledor, l'infirmière abandonna sa protégée avec le directeur de Poudlard, afin que ses derniers puissent discuter en toute liberté. D'un pas vif, elle retourna dans son bureau et ferma la porte derrière elle. Lorsqu'il fut sûre qu'on ne les dérangerait plus, Dumbeldore fit signe à Marianne de se rassoir.Elle obéissa.
Dumbledore, s'asseyant à son tour:Nous pouvons parler en paix.Pour commencer, je vais répondre à ta question, oui, je suis bien Albus Dumbeldore, directeur de Poudlard.
Marianne, mettant sa main sur son coeur et abaissant la tête avec noblesse:Je suis...
Dumbledore:Oh!Je sais qui tu es, son altesse, la princesse Marianne de Variar, ou plus exactement, tu es Marianne Potter, la fille de James et Lily Potter.
Marianne, sans montrer aucun étonnement:Vous savez qui je suis?
Dumbledore, avec un sourire de compréhension:Bien entendu. Tes parents m'ont parlé de toi, avant de te mettre en sécurité.
Marianne garda le silence une minute, jettant des regards furtifs autour d'elle. Puis elle se pencha vers Dumbledor. Ce dernier en fit autant vers elle.
Marianne, baissant la voix:Et savez-vous CE que je suis?
Dumbledore acquiesça, rapidement. Marianne se redressa dans son lit et garda le silence. Elle attendait les question de celui qui fut le mentor de ses parents.
Dumbledor, fronçant les sourcils:Marianne, comment se fait-il que tu ne sois plus à Variar?Que c'est il passé?
Le visage de la jeune femme devint pâle comme la mort et Dumbledor craignit une seconde qu'elle ne s'évanouisse.
Marianne, posant un regard infiniment triste sur Dumbledore:Variar...Variar...a été détruit.
Dumbledore sonda le regard à moitié océan, saphir à demi de la jeune femme et y vit un puit sans fond de douleur, de tristesse, de deuil et de peur
Dumbeldor, épouvanté par ce regard où la mort se reflètait:Détruit?Comment est ce possible, alors que tu es vivante?
Marianne, baissant de nouveau les yeux:Je ne le suis qu'à moitié. De nuit, nous avons été attaqué, ils étaient trop nombreux bien mieux équipé, et avec l'effet de surprise, nous avons été écrasé.Toute la famille royale a été tué:mon père et ma petite fille, Elena. Après la disparition de mon époux et de ses frère et soeurs, l'époque de prospérité du royaume était achevé, ne pouvait plus qu'arriver malheurs, même si je restais au pouvoir. Mon bébé, mon trésor m'a été enlevé!
Dumbledore, surpris et choqué par les déclaration de Marianne:Ta fille!?Tu étais mère?
Marianne:Oui. Ils m'ont pris mon dernier rayon de soleil, ce qui me restait de vie. Jusqu'ici la seul chose qui me tenait en vie, c'était mon désir de vengeance. Si vous saviez, je les ai traqué sans relâche, comme du gibier.Et justice m'a été rendue.
Marianne se tut un moment, ses yeux brillant sous l'effet de la colère et de la douleur. Puis, imprévisible, ses larmes jaillirent comme un torrent, mais ne soulageant en aucun cas la douleur de son coeur. Dumbeldore posa une main compatissante sur son épaule, ne trouvant pas de mots pour soulager une peine aussi profonde.
Dumbledore:Tu es une fille courageuse.Combien d'autres à ta place seraient devenus fou?Tu fais honneur à tes parents.
Marianne, séchant ses larmes:Fallait-il que je subisse autant de perte pour leur faire honneur?
De nouveau elle avait posé son regard sur Dumbledore, un regard qui fit frissoner le grand directeur, car ils possédaient une sagesse particulière, une sagesse qu'on n'aqquit que par les épreuves.
Dumbledore, soutenant son regard:Ce n'est pas ce que j'ai voulu te faire comprendre, mais tu as su rester en vie pour accomplir leurs volontés. Tu as refusé la mort, qui aurait été une solution plus facile à accepter. Tu t'es battue pour eux, pour que leur souvenir ne s'éteigne jamais. Un de très grand trait de caractère et une de tes plus grande qualité est ton sens de l'honneur, du devoir et du sacrifice. Grâce à toi, personne ne les oubliera! Ils vivent à travers toi et ta légende
Marianne les yeux humides, regarda avec une gratitude profonde Dumbeldore. Cet homme lui rappelait tant son père. Puis elle essuiya une larme au coin de ces cils, avant de poursuivre:
Marianne, d'une voix plus sûre:Je vous avoue que ma surprise a été grande lorsque j'ai découvert la réele identité de mes parents.Je n'aurais jamais imaginé qu'ils avaient été des sorciers originaires de ce monde.
Dumbeldore, poursuivant sur ce terrain:En vérité, c'est sur un de mes conseils, que tes parents ont crée ton royaume afin de vous mettre en sécurité Toi et ton frère.
Marianne:Mais ils n'ont pas eu le temps de s'y installer...
Dumbeldore:Voldemort les a trouvé avant.Une chance pour toi, ils t'avaient déjà mis en sécurité dans ce monde.Mais la magie requise les affaiblissaient et is avaient besoin de toutes leurs forces pour y ammener ton frère, avant qu'eux même ne vous rejoignent en fermant le passage. Voilà pourquoi, Voldemort n'a eu aucun mal à les tuer.
Marianne:Mais comment mon père a t'il pu survivre au sortilège de la mort et se retrouver à Variar?
Dumbeldore:Je crois qu'il a scindé son entité en deux.
Marianne:Le principe d'Alchimie;en sacrifiant son corps, il a pu séparer son âme de ce monde.Celle-ci s'est réincarner à Variar sous une forme animale.Mais ma mère?Pourquoi n'a t'elle pu nous rejoindre?
Dumbledore:Je suppose qu'elle devait faire la même chose, mais elle n'a pas souhaité abandonner ton frère aux mains de Voldemort. Elle voulait que tout deux vous viviez, quite à y laisser la vie. Tu lui ressemble beaucoup.
Un lours silence s'installa dans la pièce blanche. Marianne tourna la tête vers la fenêtre et y vit son reflet. Un soupir de surprise lui échappa quand elle vit son hématome sur sa joue. Le coup lui revint en mémoire. La jeune femme détourna la tête de son reflet et croisa les yeux de Dumbledore. Elle abaissa de nouveau la tête, ses cheveux auburns cachèrent son visage, rideau soyeux qui la déroba aux regards de Dumbledor.
Marianne,pensant:J'ai perdu toute ma famille.La seule personne qu'il me reste, c'est mon frère. C'est tout ce que je peux attendre de la vie.
De nouveau, elle se tourna vers la fenêtre,et, ignorant son reflet, elle observa le parc. C'est là qu'elle est apparue et ce souvenir est le premier qui enfin la soulage. La nature, son alliée, son âme, l'a de nouveau protégé. Dumbledore surprit son inspection, et décida de l'interroger sur le sujet qui le tracassait le plus.
Dumbledore:Marianne, lorsque l'on t'as trouvé, tu étais gravement blessée et les traces sur ton corps indicait clairement que tu avais été torturé.Peut tu nous dire qui t'a fait ça?
Marianne garda le silence, mais se raidit. Délibéremment elle évita le regard de Dumbledore. Pourquoi ajouter à ses tourments? Encore une fois l'image de la cave s'imposa à son esprit et elle trembla derechef. Parfois elle regrettait d'avoir raté sa tentative de sucide. Mais il fallait répondre à Dumbledore.
Marianne, sans regarder Dumbledore:C'est du passé. Qu'on le laisse en paix. De toute manière, cela n'est pas de votre ressort; ils expient leurs crimes.
Dumbeldore:Comment?Qui expient leurs crimes?Sont-ils mort?
Marianne:Je ne suis pas un assasin.Ils sont condamné à souffrir pour l'éternité à cause de leurs fautes.
Dumbeldor, voyant qu'il ne saurait rien de plus, se tut, l'esprit préoccupé par ses nouvelles révélations.
Marianne, se tournant de nouveau vers lui:Papa m'a dit que ...que j'avais un frère jumeau dans ce monde.Est-il ici?A Poudlard?
En disant ses mots, un semblant d'espoir prit naissance dans son regard et son visage s'illumina gommant les traces de torture passée.
Dumbeldore, les mains croisées sous son menton:oui, il reviendra demain soir, pour la rentrée scolaire.
La jeune femme leva la tête vers le plafond, l'espoir révélant sa beauté profonde. Elle plissa les yeux pour voir l'endroit avec les yeux des peintres, comme elle aimait le faire quand elle réfléchissait. le monde à l'entour devenait alors flou, comme des taches de peinture.
Marianne, pensant:Deux jours, plus que deux jours!*parlant dans un soufle, comme si elle priait*Son nom, j'ai peur que ma mémoire ne l'ai déformé avec le temps. A force de le murmurer, je l'ai peut-être déformé. Il s'appelle bien...Harry?
Dumbeldore, soudant son regard au sien: Ta mémoire ne t'a pas trompé, il s'appelle bien Harry,Harry Potter![/size]
A Suivre...
Mme Pomfresch:Vous vous rêveillez enfin, mademoiselle!Comment vous sentez vous?
Marianne:Où suis-je?
Mme Pomfresch:A Poudlard!
Marianne, observant l'infirmerie:A Poudlard!Alors j'ai réussi!J'ai pu m'enfuir!
Marianne, bien qu'encore très faible voulut se lever. Mais ce fut à peine si elle put retirer ses couvertures, car la main de Mme Pomfresh se posa sur sa poitrine. Marianne leva le regard vers elle;personne ne l'avait retenu de cette manière depuis plusieurs siècles!On ne s'opposait pas aux décisions de la reine de Variar.
Mme Pomfresch, avec un regard sévère:Restez-coucher!
Marianne:Mais je dois voir Dumbeldore!!C'est important!
Elle tenta de nouveau de se lever, mais à peine bouga t'elle sa jambe droite qu'elle ressentit à nouveau des élancements ne présageant rien de bon.
Mme Pomfresch, la ralongeant:Non!Vous attendrez!
A ce moment-là, Dumbeldore entra dans la salle et arrêta l'affrontement des deux femmes. Tandis que l'infirmière saluait le directeur, Marianne se redressa de nouveau, faisant fi de la douleur.
Marianne, pressante:Etes vous le proffesseur Dumbeldore?
Mme Pomfresh, se retournant exaspérée vers sa patiente:Arrêtez de vous débattre et n'interroger pas de cette façon le directeur.
Dumbeldore, avec un geste de la main apaiseur:Laissez, ce n'est pas grave!
Mme pomfresh:Bien!
Bien qu'énervée par le manque de soutien de Dumbledor, l'infirmière abandonna sa protégée avec le directeur de Poudlard, afin que ses derniers puissent discuter en toute liberté. D'un pas vif, elle retourna dans son bureau et ferma la porte derrière elle. Lorsqu'il fut sûre qu'on ne les dérangerait plus, Dumbeldore fit signe à Marianne de se rassoir.Elle obéissa.
Dumbledore, s'asseyant à son tour:Nous pouvons parler en paix.Pour commencer, je vais répondre à ta question, oui, je suis bien Albus Dumbeldore, directeur de Poudlard.
Marianne, mettant sa main sur son coeur et abaissant la tête avec noblesse:Je suis...
Dumbledore:Oh!Je sais qui tu es, son altesse, la princesse Marianne de Variar, ou plus exactement, tu es Marianne Potter, la fille de James et Lily Potter.
Marianne, sans montrer aucun étonnement:Vous savez qui je suis?
Dumbledore, avec un sourire de compréhension:Bien entendu. Tes parents m'ont parlé de toi, avant de te mettre en sécurité.
Marianne garda le silence une minute, jettant des regards furtifs autour d'elle. Puis elle se pencha vers Dumbledor. Ce dernier en fit autant vers elle.
Marianne, baissant la voix:Et savez-vous CE que je suis?
Dumbledore acquiesça, rapidement. Marianne se redressa dans son lit et garda le silence. Elle attendait les question de celui qui fut le mentor de ses parents.
Dumbledor, fronçant les sourcils:Marianne, comment se fait-il que tu ne sois plus à Variar?Que c'est il passé?
Le visage de la jeune femme devint pâle comme la mort et Dumbledor craignit une seconde qu'elle ne s'évanouisse.
Marianne, posant un regard infiniment triste sur Dumbledore:Variar...Variar...a été détruit.
Dumbledore sonda le regard à moitié océan, saphir à demi de la jeune femme et y vit un puit sans fond de douleur, de tristesse, de deuil et de peur
Dumbeldor, épouvanté par ce regard où la mort se reflètait:Détruit?Comment est ce possible, alors que tu es vivante?
Marianne, baissant de nouveau les yeux:Je ne le suis qu'à moitié. De nuit, nous avons été attaqué, ils étaient trop nombreux bien mieux équipé, et avec l'effet de surprise, nous avons été écrasé.Toute la famille royale a été tué:mon père et ma petite fille, Elena. Après la disparition de mon époux et de ses frère et soeurs, l'époque de prospérité du royaume était achevé, ne pouvait plus qu'arriver malheurs, même si je restais au pouvoir. Mon bébé, mon trésor m'a été enlevé!
Dumbledore, surpris et choqué par les déclaration de Marianne:Ta fille!?Tu étais mère?
Marianne:Oui. Ils m'ont pris mon dernier rayon de soleil, ce qui me restait de vie. Jusqu'ici la seul chose qui me tenait en vie, c'était mon désir de vengeance. Si vous saviez, je les ai traqué sans relâche, comme du gibier.Et justice m'a été rendue.
Marianne se tut un moment, ses yeux brillant sous l'effet de la colère et de la douleur. Puis, imprévisible, ses larmes jaillirent comme un torrent, mais ne soulageant en aucun cas la douleur de son coeur. Dumbeldore posa une main compatissante sur son épaule, ne trouvant pas de mots pour soulager une peine aussi profonde.
Dumbledore:Tu es une fille courageuse.Combien d'autres à ta place seraient devenus fou?Tu fais honneur à tes parents.
Marianne, séchant ses larmes:Fallait-il que je subisse autant de perte pour leur faire honneur?
De nouveau elle avait posé son regard sur Dumbledore, un regard qui fit frissoner le grand directeur, car ils possédaient une sagesse particulière, une sagesse qu'on n'aqquit que par les épreuves.
Dumbledore, soutenant son regard:Ce n'est pas ce que j'ai voulu te faire comprendre, mais tu as su rester en vie pour accomplir leurs volontés. Tu as refusé la mort, qui aurait été une solution plus facile à accepter. Tu t'es battue pour eux, pour que leur souvenir ne s'éteigne jamais. Un de très grand trait de caractère et une de tes plus grande qualité est ton sens de l'honneur, du devoir et du sacrifice. Grâce à toi, personne ne les oubliera! Ils vivent à travers toi et ta légende
Marianne les yeux humides, regarda avec une gratitude profonde Dumbeldore. Cet homme lui rappelait tant son père. Puis elle essuiya une larme au coin de ces cils, avant de poursuivre:
Marianne, d'une voix plus sûre:Je vous avoue que ma surprise a été grande lorsque j'ai découvert la réele identité de mes parents.Je n'aurais jamais imaginé qu'ils avaient été des sorciers originaires de ce monde.
Dumbeldore, poursuivant sur ce terrain:En vérité, c'est sur un de mes conseils, que tes parents ont crée ton royaume afin de vous mettre en sécurité Toi et ton frère.
Marianne:Mais ils n'ont pas eu le temps de s'y installer...
Dumbeldore:Voldemort les a trouvé avant.Une chance pour toi, ils t'avaient déjà mis en sécurité dans ce monde.Mais la magie requise les affaiblissaient et is avaient besoin de toutes leurs forces pour y ammener ton frère, avant qu'eux même ne vous rejoignent en fermant le passage. Voilà pourquoi, Voldemort n'a eu aucun mal à les tuer.
Marianne:Mais comment mon père a t'il pu survivre au sortilège de la mort et se retrouver à Variar?
Dumbeldore:Je crois qu'il a scindé son entité en deux.
Marianne:Le principe d'Alchimie;en sacrifiant son corps, il a pu séparer son âme de ce monde.Celle-ci s'est réincarner à Variar sous une forme animale.Mais ma mère?Pourquoi n'a t'elle pu nous rejoindre?
Dumbledore:Je suppose qu'elle devait faire la même chose, mais elle n'a pas souhaité abandonner ton frère aux mains de Voldemort. Elle voulait que tout deux vous viviez, quite à y laisser la vie. Tu lui ressemble beaucoup.
Un lours silence s'installa dans la pièce blanche. Marianne tourna la tête vers la fenêtre et y vit son reflet. Un soupir de surprise lui échappa quand elle vit son hématome sur sa joue. Le coup lui revint en mémoire. La jeune femme détourna la tête de son reflet et croisa les yeux de Dumbledore. Elle abaissa de nouveau la tête, ses cheveux auburns cachèrent son visage, rideau soyeux qui la déroba aux regards de Dumbledor.
Marianne,pensant:J'ai perdu toute ma famille.La seule personne qu'il me reste, c'est mon frère. C'est tout ce que je peux attendre de la vie.
De nouveau, elle se tourna vers la fenêtre,et, ignorant son reflet, elle observa le parc. C'est là qu'elle est apparue et ce souvenir est le premier qui enfin la soulage. La nature, son alliée, son âme, l'a de nouveau protégé. Dumbledore surprit son inspection, et décida de l'interroger sur le sujet qui le tracassait le plus.
Dumbledore:Marianne, lorsque l'on t'as trouvé, tu étais gravement blessée et les traces sur ton corps indicait clairement que tu avais été torturé.Peut tu nous dire qui t'a fait ça?
Marianne garda le silence, mais se raidit. Délibéremment elle évita le regard de Dumbledore. Pourquoi ajouter à ses tourments? Encore une fois l'image de la cave s'imposa à son esprit et elle trembla derechef. Parfois elle regrettait d'avoir raté sa tentative de sucide. Mais il fallait répondre à Dumbledore.
Marianne, sans regarder Dumbledore:C'est du passé. Qu'on le laisse en paix. De toute manière, cela n'est pas de votre ressort; ils expient leurs crimes.
Dumbeldore:Comment?Qui expient leurs crimes?Sont-ils mort?
Marianne:Je ne suis pas un assasin.Ils sont condamné à souffrir pour l'éternité à cause de leurs fautes.
Dumbeldor, voyant qu'il ne saurait rien de plus, se tut, l'esprit préoccupé par ses nouvelles révélations.
Marianne, se tournant de nouveau vers lui:Papa m'a dit que ...que j'avais un frère jumeau dans ce monde.Est-il ici?A Poudlard?
En disant ses mots, un semblant d'espoir prit naissance dans son regard et son visage s'illumina gommant les traces de torture passée.
Dumbeldore, les mains croisées sous son menton:oui, il reviendra demain soir, pour la rentrée scolaire.
La jeune femme leva la tête vers le plafond, l'espoir révélant sa beauté profonde. Elle plissa les yeux pour voir l'endroit avec les yeux des peintres, comme elle aimait le faire quand elle réfléchissait. le monde à l'entour devenait alors flou, comme des taches de peinture.
Marianne, pensant:Deux jours, plus que deux jours!*parlant dans un soufle, comme si elle priait*Son nom, j'ai peur que ma mémoire ne l'ai déformé avec le temps. A force de le murmurer, je l'ai peut-être déformé. Il s'appelle bien...Harry?
Dumbeldore, soudant son regard au sien: Ta mémoire ne t'a pas trompé, il s'appelle bien Harry,Harry Potter![/size]
A Suivre...
Partage